DIEU D’ALLIANCE 18

Jean 10.30 – « Moi et le Père nous sommes un ».  

La soumission n’a de sens que lorsqu’elle respecte l’ordre divin. Paul dit : « Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme et que Dieu est le chef de Christ ». Observons l’ordre dans lequel Dieu a placé les choses :

  1. Christ doit être le chef de l’homme, avant que
  2. L’homme ne soit le chef de la femme.

Car si l’homme n’est pas soumis à Christ, il peut abuser et même maltraiter sa femme.

Dans Ephésiens chapitre 5, Paul dit : « Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur… ». La soumission est demandée à la femme dans le cadre exclusif de ce que dit le Seigneur, c’est-à-dire, la Parole ! La femme ne peut pas se soumettre à quelque chose qui va à l’encontre de la Parole de Dieu. Si le mari demande à la femme d’aller voler ou de se prostituer, la femme ne peut pas se soumettre à cela parce que ce n’est pas « comme au Seigneur », car le Seigneur ne lui demandera jamais de commettre de tels actes.

C’est pour cela qu’il est important que le mari et la femme aient le même Seigneur, qui est notre Seigneur Jésus-Christ. Souvenons-nous de la confession que Ruth fit à Naomi : nous aurons la même vision, nous aurons la même maison, nous aurons la même famille, et nous aurons la même foi.

Lorsque le mari et la femme sont tous les deux chrétiens et décident de bâtir leur relation sur la Parole de Dieu, la soumission qui en résulte ne vient plus exclusivement de la femme, mais vient aussi du mari, car finalement, c’est à Dieu que tous les deux sont soumis. La Bible dit : « … Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, vous soumettant les uns aux autresdans la crainte de Dieu » (Ephésiens 5.20 et 21).

Références : 1 Corinthiens 11.3, Ephésiens 5, Ruth 1.16 et 17