LES BENEDICTIONS JAMAIS VECUES

Lévitique 25.3 et 4 – « Pendant six années tu ensemenceras ton champ, pendant six années tu tailleras ta vigne ; et tu recueilleras le produit. Mais la septième année sera un sabbat ; un temps de repos pour la terre ; un sabbat en l’honneur de l’Eternel… ».

Si nous pouvions compter les bénédictions jamais vécues, nous pourrions mesurer la bonté de l’Éternel, et surtout notre manque de foi. La Bible dit que Dieu est lent à la colère et riche en bonté. Mais c’est comme si nous vivons plus dans la lenteur de sa colère par la désobéissance, que dans la richesse de sa bonté en obéissant à ses commandements.

Lorsque le peuple d’Israël entra en Canaan, la terre promise, l’Éternel lui dit de travailler la terre pendant six années, mais de la laisser se reposer la septième année. Evidemment une telle recommandation, suscite de vives inquiétudes, car la première question que l’on se pose est la suivante : comment mangerons-nous alors la septième année ?

L’homme, le plus souvent, s’attend à ce que le Seigneur lui demande des choses très raisonnables, très humaines, très logiques, et très faciles à réaliser. Mais lorsque Dieu nous demande quelque chose qui est impossible ou illogique à faire, c’est parce qu’il a déjà trouvé une solution qui va rendre cette chose facile à réaliser, si nous y mettons la foi.

Les Israélites n’ont jamais laissé la terre se reposer la septième année parce qu’ils n’ont pas cru dans la Parole du Seigneur. Et pourtant le Seigneur leur avait dit : « Si vous dites : Que mangerons nous la septième année puisque nous ne sèmerons point et ne ferons point de récoltes ? Je vous accorderai ma bénédiction la sixième année et elle donnera des produits pour trois ans » (Lévitique 25.20 et 21).

Mais Israël n’a jamais vécu cette bénédiction. Ils ont travaillé la terre systématiquement tous les ans, sans jamais la laisser se reposer. Alors la colère de l’Éternel s’enflamma et il permit à Nébucadnetsar de détruire Jérusalem et de massacrer le peuple. Après cela, Nébucadnetsar emmena des captifs à Babylone, pour 70 années, le temps que la terre récupère les années de sabbat qu’elle n’avait pas eues chaque 7ème année (2 Chroniques 36.17 à 21).  Ceci démontre que pendant 490 ans, Israël s’est entêté dans la désobéissance en refusant de laisser la terre se reposer chaque 7ème année.

Lorsque Pierre demanda à Jésus : « Combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? … Jésus lui dit : Je ne dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois » (Matthieu 18.22). Ce qui donne 490 fois. Dieu a été patient avec Israël, pendant 490 années. Mais la patience et la bonté de Dieu ne signifient pas que Dieu ne se met pas en colère.

Ma prière, aujourd’hui, est que nous revenions à l’Éternel, à l’obéissance de ses commandements, afin que nous n’ayons pas dans notre existence, des bénédictions jamais vécues. 

Références : Lévitique 25.20 et 21 – 2 Chroniques 36.17 à 21 – Matthieu 18.22 – Psaume 103.8 – Exode 20.8 à 11.

LE FACTEUR HUMAIN

Exode 25.40 – Regarde, et fais d’après le modèle qui t’est montré sur la montagne.

J’aimerais parler aujourd’hui de quelque chose qui m’a toujours sidéré et qui se pratique dans le monde chrétien : c’est le facteur humain. Bien des enfants de Dieu reçoivent des visions de la part du Seigneur, la vision est claire et limpide mais ils ont une tendance innée à mettre les choses à leur sauce, ce qui au final, s’avère une catastrophe !

Moïse était un leader avec une onction hors du commun, cependant la recommandation qu’il recevra est celle-ci : « Fais les choses d’après le modèle que je Te montre ». En bon serviteur fidèle qu’il était, Moïse a fait les choses exactement comme le Seigneur lui avait montré.

Quand nous recevons une vision, ayant un but à atteindre, il est d’une importance primordiale de faire les choses exactement comme le Seigneur nous les a demandées ! Soyons très prudents au facteur humain en nous qui va essayer de « corriger », modifier, « améliorer » ce que Dieu nous demande.

Ce danger devient encore plus grand quand nous devons partager la vision et que d’autres doivent s’y impliquer. La tendance actuelle à la « démocratie » est un piège certain. Dans le service de Dieu, il n’y a pas et il n’y aura jamais de « démocratie ». Dieu est pleinement souverain et ses choix sont clairs et limpides, ils ne nécessitent aucune contestation ou revendication.

Mes bien-aimés, beaucoup de visions ne sont pas parvenues à maturité à cause du facteur humain. Si nous reconnaissons que Dieu nous donne, ou que quelqu’un est investi d’une vision mandatée par le Seigneur, celle-ci ne doit souffrir d’aucune « adaptation » même si elle semble saugrenue.

Si Noé parlait de sa vision aujourd’hui, voici ce qu’il entendrait :

« Il faut construire l’arche plus près de la mer… ».

« Un couple des animaux comestibles est suffisant… ».

« Il faut voir moins grand… ».

« Pas en bois de gopher… ».

« Construit aussi un pont « touristique »… ».

«  Il n’y aura pas de déluge… ».

Vous voyez ce que je veux dire ?

Bonne réflexion.

ADONAI 5

Exode 21.5 et 6 – « Si l’esclave dit : J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service ».   

Jésus-Christ porte le nom d’Adonaï qui est le nom de Dieu. Ce faisant, il affirme ouvertement qu’il n’est pas seulement un homme, mais qu’il est aussi Dieu.

Dans Jean chapitre 13, le Seigneur Jésus déclare : « Vous m’appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis ». La version anglaise King James dit : « Vous m’appelez maître et Seigneur, et vous dites bien, car Je suis ». Sachant que « Je suis » est le nom de Dieu, nous comprenons par-là que Jésus était en train d’affirmer sa divinité.

Jésus-Christ avait au milieu des hommes un double ministère. Il était le Maître-serviteur : d’un côté, Il incarnait Dieu, et d’un autre, Il incarnait le serviteur, nous donnant ainsi un exemple à suivre.

En effet la Bible dit dans Philippiens chapitre 2, que le Seigneur Jésus « … s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et après s’être trouvé dans la situation d’un homme, il s’est humilié lui-même, en se rendant obéissant jusqu’à la mort… ».

Nous voyons ici qu’un esclave ou un serviteur, c’est quelqu’un qui se rend obéissant jusqu’à la mort. Nous retrouvons cette obéissance chez l’apôtre Paul qui disait : « Christ est ma vie, et la mort m’est un gain ».

Lorsque Christ est vraiment le Seigneur de notre vie, nous n’avons plus de vie, dans le sens où c’est Sa vie qui devient notre vie. Et comme disait Paul : « J’ai été crucifié avec Christ, et si je vis, c’est Christ qui vit en moi… ».

Nous avons beaucoup de facilité à recevoir Jésus-Christ comme notre Sauveur, celui qui est mort pour nous racheter du péché, et pour nous donner une vie nouvelle. Mais, nous avons beaucoup de difficulté à le recevoir comme notre Seigneur, notre Maître, celui qui règne dans notre vie, et dont nous sommes les esclaves. Jésus n’est pas seulement notre Sauveur, il est aussi notre Seigneur.

Ma prière est que nous laissions toute la place à Jésus, afin qu’il soit le pilote de notre vie.

Références : Jean 13.13 – Exode 3.14 – Jean 14.8 et 9 – Philippiens 2.5 à 8 – Philippiens 1.21 – Galates 2.20.

ADONAI 4

Exode 21.5 et 6 – « Si l’esclave dit : J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service ».   

La première révélation que Paul eut de Dieu, fut celle d’Adonaï. Lorsqu’il s’appelait encore Saul et qu’il était sur la route de Damas pour aller persécuter les chrétiens, la Bible dit : « … Tout à coup une lumière venant du ciel resplendit autour de lui. Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? ». Il répondit : « Qui es-tu Seigneur ? ».

Saul ne connaissait pas encore Dieu, mais il l’appelait « Seigneur », ce qui signifie « Adonaï ». Le Seigneur lui répondit en disant : « Je suis Jésus que tu persécutes ». Alors Saul, « tremblant et saisi d’effroi dit ; Seigneur, que veux-tu que je fasse ? ».

Cette question révèle toute la nature de la relation qu’il y a entre un esclave ou un serviteur et son maître. Peut-être que nous aussi, dans nos situations individuelles, nous avons besoin de poser cette question à Dieu : « Seigneur que veux-tu que je fasse ? ».

A partir de cette seule question, Saul est passé de son identité de meurtrier, à l’identité de Paul, le serviteur de Dieu.

Paul s’est livré tout entier au Seigneur au point qu’il pouvait dire : « Je suis le prisonnier de Christ ». Voyez-vous, quand on a la révélation d’Adonaï, on n’est pas seulement serviteur, fidèle, croyant, chrétien, mais on devient le prisonnier de Jésus-Christ.

De qui êtes-vous le prisonnier ou la prisonnière ? Il y a beaucoup de prisons en ce monde, mais il est une prison qui est plus valable et plus honorable que toutes les autres, c’est quand on devient le prisonnier ou la prisonnière de Jésus-Christ. Telle est ma prière.

Références : Actes 9 – Ephésiens 3.1 – Philémon 9.

ADONAI 3

Exode 21.5 et 6 – « Si l’esclave dit : J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service ».   

Le nom Adonaï ne signifie pas seulement maître et Seigneur, mais aussi possesseur ou propriétaire.

Dans Genèse 14, lorsque le roi de Sodome voulut faire une transaction avec Abram, ce dernier lui répondit : « Je lève la main vers l’Eternel, le Dieu Très-Haut (El Elyon), maître (Adonaï) du ciel et de la terre : je ne prendrai rien de tout ce qui est à toi, pas même un fil, ni un cordon de soulier, afin que tu ne dises pas : J’ai enrichi Abram ».

Dans sa réponse au roi de Sodome, Abram a présenté Dieu sous deux noms différents. Il l’a d’abord présenté comme le Dieu Très-Haut, qui est traduit en Hébreu El Elyon, ensuite il l’a présenté comme le possesseur ou le maître du ciel et de la terre, qui est traduit : Adonaï.

Parce que Abram avait la révélation que Dieu possédait toute chose, le ciel, la terre, et tout ce qu’elle renferme, il a pu refuser la proposition du roi de Sodome, qui n’était autre que Satan lui-même. Il ne s’est pas laissé corrompre par les choses de ce monde, mais il a choisi de donner sa dîme à Adonaï, qui est appelé ici le roi de Salem.

De même, deux rois viennent souvent à notre rencontre. A nous de choisir celui que nous voulons adorer : le roi de Sodome et les richesses de ce monde, ou Adonaï, le possesseur de toutes choses.

Comme Abram nous pouvons refuser de négocier avec le Prince de ce monde et décider de faire alliance avec Adonaï, en lui donnant la dîme de tout. Il deviendra ainsi maître de tout ce que nous possédons et nous donnera le pouvoir de prospérer à tous égards.

Ma prière, aujourd’hui, est que nous ayons la révélation du possesseur du ciel et de la terre, ainsi les choses de ce monde ne pourront plus nous corrompre.

Références : Genèse 14.17 à 23

ADONAI 2

Exode 21.5 et 6 – « Si l’esclave dit : J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service ».   

L’oreille de celui ou de celle qui aime son maître et qui décide d’être volontairement son esclave, doit être percée. C’est ainsi que Jésus-Christ fut percé sur la croix, parce qu’il fit de Dieu son maître. Il fut percé aux pieds, aux mains, dans le côté. Et même sa tête fut transpercée par une couronne d’épines.

Voyez-vous lorsqu’on aime le Seigneur on finit toujours par être percé. Parfois, nous sommes percés de tous côtés par des persécutions, des épreuves, des attaques, des injustices, parce que nous aimons le Seigneur, et que nous avons choisi d’être ses esclaves.

La Bible dit : « … tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés » ou « percés ». Etes-vous persécutés, trahis ou rejetés ? Plutôt que d’être découragés et déprimés, pourquoi ne pas regarder Dieu comme Adonaï ? Une des choses qui caractérisent un esclave, c’est le silence. L’esclave n’est pas là pour faire des revendications, des manifestations, de la résistance ou de l’opposition.

La Bible dit de Jésus : « … il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n’a point ouvert la bouche ».

Celui qui garde le silence invite Dieu à parler pour lui. Sachons que nous avons un maître qui est bon et toutes choses sont entre ses mains. Même les choses qui semblent nous échapper sont dans les mains de Dieu, parce qu’il est le Maître : Adonaï.

Proverbes 21 nous enseigne que : « Le cœur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Eternel, il l’incline partout où il veut ».

Ma prière, aujourd’hui, est que nous ayons la révélation que nos circonstances, quelles qu’elles soient, sont sous le contrôle d’Adonaï.

Références : Jean 19.34 – 2 Timothée 3.12 – Esaïe 53.7 – Proverbes 21.1.

ADONAI 1

Exode 21.5 et 6 – « Si l’esclave dit : J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service ».   

Adonaï est un nom de l’Éternel qui révèle Dieu comme notre maître. L’Éternel est mon Seigneur, c’est-à-dire mon maître. Ce nom fait référence à la relation qu’il y a entre l’esclave et son maître. Il s’agit d’une relation basée exclusivement sur la soumission, car l’esclave n’impose pas sa volonté à son maître, mais c’est plutôt le maître qui fait de l’esclave ce qu’il veut. Sommes-nous prêts à laisser l’Éternel faire de nous ce qu’il veut ?

Jésus-Christ a révélé Dieu comme Adonaï, lorsque dans le jardin de Gethsémané, sachant toutes les souffrances par lesquelles il allait passer, il dit à son Père : « … Que Ta volonté soit faite et non la mienne ». Cette Parole, à mon avis, résume le christianisme, car c’est sa volonté qui doit être faite et non la nôtre. Il est le maître et nous sommes ses esclaves.

La Bible dit dans Exode 21 à propos des lois concernant les esclaves que si quelqu’un a un esclave, celui-ci travaillera pendant six années, mais la septième année, il doit être libéré. Cependant, la loi précise que si l’esclave aime son maître et décide de rester pour toujours son esclave, alors le maître doit le conduire devant Dieu et ensuite lui percer l’oreille. C’est le signe que cette personne a volontairement choisi de rester pour toujours l’esclave de son maître.

Ma prière, aujourd’hui, est que le Saint-Esprit renouvelle notre cœur et nos pensées, afin que nous puissions reconsidérer notre relation personnelle avec Dieu. Sommes-nous réellement ses esclaves ?

Références : Luc 22.42 – Exode 21.1 à 6.

QUELLE EST LA NATURE DE MA CRAINTE

Exode 20.20 (BFC) – Moïse leur répondit : « Ne craignez rien ! Si Dieu s’est approché de vous, c’est pour vous mettre à l’épreuve ; Il veut que vous reconnaissiez son autorité et que vous ne commettiez pas de péché ».

Cet épisode fait référence à la rencontre des Israélites avec l’Éternel au mont Sinaï. Je pense qu’il y a une leçon à tirer parce que la manifestation de Dieu était des plus impressionnantes, avec des signes effrayants.

Certaines périodes de crise que nous traversons sont effrayantes. Et plusieurs de se poser la question : « Mais où est Dieu ? ». Plusieurs serviteurs partent trop tôt dans la gloire, la réputation des églises est souvent traînée dans la boue, le monde s’acharne à trouver en elles des boucs émissaires, les chrétiens se mordent les uns les autres… Si Dieu est à l’œuvre dans ces crises, et c’est le cas, cela bouscule nos concepts les plus profonds !

Nous ne pouvons pas tout expliquer, d’ailleurs nous devons bien admettre notre petitesse et notre manque de compétences quand il s’agit de parler d’un si grand Dieu. Cependant, si nous faisons une photographie du Corps de Christ aujourd’hui, nous devons admettre que la crainte de Dieu a disparu de bien des communautés, de bien des vies.

Parole de Vie traduit ainsi ce verset : « …Dieu est venu voir si vous alliez Lui obéir. Il veut que vous Le respectiez… » (Exode 20.20). Dans ces temps, mes bien-aimés, il faut sonder nos cœurs pour voir si nous sommes dans une attitude de respect et de crainte envers notre Dieu. Ce n’est pas le moment de chercher des boucs émissaires, ni d’accuser les autres, mais c’est un temps de grâce pour exposer notre être intime dans la présence du Seigneur.

Jésus nous a dit : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne (Matthieu 10.28). Que notre crainte ne soit pas orientée vers les mauvaises nouvelles des médias, mais que notre crainte soit orientée vers Celui qui est le Créateur de l’univers, qui siège au-dessus de tout et qui n’est jamais pris au dépourvu. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce que notre intelligence peut comprendre, nous gardera dans la foi et l’espérance que Dieu nous aime et qu’Il a des projets de paix et non de malheur pour nous (cp Philippiens 4.7 et Jérémie 29.11).

Bonne réflexion.