CRIEZ À DIEU !

Psaumes 28.1 – Éternel ! C’est à toi que je crie.

Avez-vous connu ce genre de prière ? Ne vous est-il jamais arrivé de « sentir » que votre prière était tellement pressante que vous l’exprimiez dans un cri ? Quelquefois notre « contenance » nous prive de ce cri libérateur !

« Quand un malheureux crie, l’Éternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses » nous dit le Psaume 34.6. Mes bien-aimés, il n’y a pas de « protocole » dans le domaine de la prière à Dieu, rien ne sera choquant pour Lui. Nous avons besoin d’apprendre à exprimer nos sentiments ! La prière n’est pas une affaire de bienséance, elle devrait toujours être le cri de notre cœur. Rappelons-nous Bartimée qui criait pour obtenir l’attention de Jésus. Quand la foule essayait de le faire taire, il criait encore plus fort ! (Marc 10.47 et 48). Aujourd’hui, c’est le diable qui essaye de te faire taire : il t’intimide, il te nargue, il se moque de toi… mais ce ne sont que des apparences, à vrai dire il craint fortement que ta prière devienne un cri car il sait que ce jour-là, il perdra la bataille.

Mes bien-aimés, si votre âme est dans l’angoisse, si vous êtes tenaillés par la peur, si vous avez une boule à l’estomac… que ce soit à cause des circonstances de la vie ou que ce soit par crainte de ce que vous avez fait, sortez de chez vous ! Trouvez un endroit désert, une forêt, un coin calme ou que sais-je et là, répandez votre cœur devant Dieu dans un cri ! Ne quittez pas ce lieu avant de ressentir la présence du Seigneur et d’obtenir sa paix qui surpasse toute intelligence. Ne le laissez pas aller qu’Il ne vous ait béni !

Cette prière peut être pour vous mais aussi pour quelqu’un que vous aimez. Un être cher est malade, perdu, en danger… Criez ! Criez à Dieu ! Vous serez étonnés du résultat. Vous verrez combien le Seigneur est bon, combien Il agrée que nous nous adressions à Lui de cette manière. Vous voulez entrer dans la dimension du miraculeux ? Criez vos prières mes bien-aimés !

Bonne réflexion.

ABBA ! PÈRE !

Psaumes 27.10 – « Car mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Eternel me recueillera ».

Lorsque notre Seigneur Jésus-Christ enseigna aux disciples comment prier, il ne leur a pas dit : « Notre Dieu qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié… ». Au contraire il leur dit ceci : « Notre père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié… ».

Le Seigneur Jésus n’a pas voulu nous présenter Dieu comme un étranger, comme quelqu’un qui est loin de nous, mais plutôt comme celui qui est notre père. Lorsqu’on est en Christ, on ne peut pas être orphelin ou orpheline, parce que Dieu est notre père.

La Bible déclare : « La Parole est venue chez les siens et les siens ne l’ont pas reçue. Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu… ».

Dieu devient notre père lorsque nous croyons en son fils Jésus-Christ. C’est ce Dieu qui nous parle et qui dit : « Pourquoi dis-tu l’Eternel m’abandonne, le Seigneur m’oublie ! Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles ? Quand elle l’oublierait, moi je ne t’oublierai point. Voici je t’ai gravé sur mes mains, tes murs sont toujours devant mes yeux… ».

Ma prière, aujourd’hui, est que nous puissions apprendre à regarder Dieu, non pas comme un étranger, mais comme notre père. Il n’est pas seulement proche de nous, Il est en nous.

Références : Romains 8.15 – Matthieu 6.9 – Jean 1.12 – Esaïe 49.14 à 16.

LE ROI QUI OUVRE LES PORTES

Psaumes 24.7 et 8 – « Portes élevez vos linteaux, élevez-vous, portes éternelles ! Que le roi de gloire fasse son entrée ! Qui est ce roi de gloire ? L’Eternel fort et puissant, l’Eternel puissant dans les combats ».

« Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole, et que tu n’as pas renié mon nom, j’ai mis devant toi une porte ouverte que personne ne peut fermer ».

Trois points pour que les portes fermées s’ouvrent :

1.  Reconnaître que Dieu seul a toute puissance.

2.  Garder la Parole de Dieu, c’est-à-dire obéir à la Parole de Dieu.

3.  Ne jamais renier Dieu.

Notre verset de méditation dit : « … élevez-vous portes éternelles, que le roi de gloire fasse son entrée ! ». Cela fait toute une éternité que ces portes sont fermées. Elles ont toujours résisté et n’ont jamais voulu s’ouvrir. Mais comme notre Dieu est puissant dans les combats, maintenant est venu le temps où toutes les portes fermées vont s’ouvrir. Nous sommes dans une année où nous allons expérimenter de grandes ouvertures.

Ma prière, aujourd’hui, est que les portes de cette journée s’élèvent et que le Roi de gloire fasse son entrée, dans toutes les activités que nous allons entreprendre, selon qu’il est écrit : « J’ai mis devant toi une porte ouverte que personne ne peut fermer ». 

Références : Apocalypse 3.8.

DANS LA VALLÉE !

Psaumes 23.4 (BFC) – Même si je passe par la vallée obscure, je ne redoute aucun mal, Seigneur, car tu m’accompagnes…

Dans notre marche chrétienne, il est des vallées obscures que nous aurons à traverser. Elles font partie de notre pèlerinage et plus notre destinée est glorieuse, plus elles seront profondes !

C’est quoi ces vallées obscures ? Cela peut être ce moment où le ciel semble fermé, où tout va de travers, où Dieu semble sourd à nos requêtes et où l’ennemi s’acharne sur nous avec férocité. C’est l’endroit où tous nos repères, nos sécurités, nos convictions passent par le feu.

David a traversé ce genre d’endroit que notre nature humaine fuirait, s’il était possible, de toutes ses forces. Jésus l’a traversé et tant d’autres au travers des siècles. A vrai dire, ce passage est nécessaire pour arriver à une plus grande maturité, pour que notre foi devienne inébranlable et fondée sur notre Seigneur seul.

David ne dit pas que le mal ne l’atteindra pas, il dit qu’il ne le redoute pas. La peur nous fait faire tant de détours, elle nous pousse loin, très loin du plan de Dieu pour notre vie. Rappelons-nous que Jésus a été « poussé » par le Saint-Esprit vers le désert, lieu de la tentation et de la confrontation. Il en est ressorti plein de puissance. Nous sommes attirés par l’onction que certains serviteurs de Dieu portent mais nous sommes peu enclins à passer par la vallée où ils sont passés !

La promesse, c’est que le Seigneur nous accompagne et au fond, si Dieu est là malgré les apparences et tous nos sentiments négatifs, c’est le meilleur endroit. Seigneur que je sois là où Tu es, et rien que là où Tu es !

L’encouragement de cette pensée, c’est que pour Dieu qui a notre vie entre ses mains, tout a un sens et que si nous avons l’impression de sombrer, Lui demeurera à jamais fidèle et qu’après la vallée obscure, il y aura des montagnes de grâces puissantes.

Que le Seigneur vous encourage et de grâce, tenez bon !

LE BOUT DU TUNNEL !

Psaumes 22.1 ou 22.2 selon les versions – Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Pourquoi restes-tu si loin, sans me secourir, sans écouter ma plainte ?

David, comme chantre, était inspiré des paroles de Dieu. Dans ce verset il cite les mots même de Jésus sur la croix, ultime moment où le Fils et le Père ont été séparés parce que Jésus portait sur Lui tout le poids du péché du monde. David a eu beaucoup d’épreuves dans sa vie, certaines d’entre elles lui sont « tombées dessus », d’autres ont été la conséquence de ses choix.

L’épreuve, quelle qu’elle soit, n’a qu’un seul but, nous faire grandir. L’impression qu’il avait que Dieu ne venait pas le secourir était illusoire, car Dieu travaille toujours au salut de ceux qui L’aiment. Aucune épreuve (tentation étant le même mot) n’est surhumaine, Dieu prépare à l’avance le moyen de s’en sortir.

Mais quand nous sommes au beau milieu de l’épreuve, il nous est très difficile de voir le bout du tunnel. Seule la foi dans cette promesse peut nous aider à faire un pas de plus vers la sortie, à continuer encore et encore jusqu’à une pleine victoire. C’est dans ce temps d’épreuve que tu vois vraiment ce que tu as dans le ventre… elle fait le tri entre ce qui est de la grâce de Dieu en toi et de ce qui est encore des choses qui doivent changer. Personne n’aime être éprouvé, pourtant l’épreuve a ceci de positif, c’est qu’elle nous remet à la mesure de qui nous sommes : des êtres humains complètement dépendants de la grâce de Dieu.

Pour revenir à notre David, l’homme selon le cœur de Dieu, c’était un battant qui avait remporté de grandes victoires et il était un peu la vedette en Israël. Ce sentiment d’abandon, purement fictif d’ailleurs, parce que Dieu veille sur les siens, le ramènera à la juste réalité : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » ! Courage mon ami, tu es un pas de plus vers la sortie du tunnel…

Sois pleinement béni.

Bonne réflexion.

QUI ES-TU GRANDE MONTAGNE ?

Psaumes 18.34 – « Il rend mes pieds semblables à ceux des biches et il me place sur mes lieux élevés ». 

Avez-vous déjà observé les pieds d’une biche ? On ne peut pas dire que les biches sont des animaux qui marchent. La plupart du temps, elles sont toujours en train de sautiller. Elles avancent par bonds, et elles sont d’une grande agilité.

L’avantage pour quelqu’un qui a les pieds comme ceux d’une biche, est que cette personne ne pourra pas marcher dans le filet de l’oiseleur, c’est-à-dire dans les pièges du diable, parce qu’elle peut sauter et passer par-dessus.

Comme elles se déplacent toujours en faisant des bonds, les biches passent plus de temps dans les airs que sur le sol. Lorsqu’on est plus dans l’esprit que dans la chair, lorsqu’on est plus en haut qu’en bas, lorsqu’on passe plus de temps avec le Seigneur qu’avec les hommes, on finit par marcher sur ces lieux élevés. C’est un signe de victoire, car les lieux élevés représentent tout ce qui s’élève contre nous. Mais comme le dit la Parole, toutes ces choses sont sous nos pieds.

La Bible dit : « Qui es-tu, grande montagne, devant Zorobabel ? Tu seras aplanie ». Ou encore : « Qui es-tu, grande montagne, devant (mettez votre nom) ? Tu seras aplanie ».

Les lieux élevés, ce sont nos montagnes, ce sont tous ces défis qui veulent nous paralyser dans notre foi. Mais grâce soit rendue à Dieu qui rend nos pieds semblables à ceux des biches, et qui nous place au-dessus de nos problèmes, au-dessus de nos barrières, au-dessus de nos lieux élevés.

Ma prière, aujourd’hui, est que le Seigneur nous fasse faire des bonds dans notre foi, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.

Références : Zacharie 4.7 – Psaumes 91.3.

A L’OMBRE DE TES AILES !

 Psaumes 17.8 – Garde-moi comme la prunelle de l’œil, cache-moi à l’ombre de tes ailes.

Nous avons déjà écrit sur le fait que Dieu nous cache dans son carquois. Bon nombre de serviteurs du Seigneur ont trouvé ce lieu « spécial » de la rencontre avec leur Dieu. Moïse était caché dans le désert, Elie et David étaient cachés dans une caverne, Jonas était dans le ventre d’un grand poisson, Jean-Baptiste passait ses journées dans le désert, le fils prodigue gardait à l’écart des cochons… Ces différents lieux avaient un dénominateur commun, c’était l’endroit de la réflexion et de l’intimité avec Dieu.

Et pour nous : quel est ce lieu privilégié où Dieu nous attend ? Vers quel endroit le Saint-Esprit nous pousse pour nous parler ? Tant que nous éviterons cet endroit, Dieu restera muet. Un jour en rentrant chez moi le soir assez tard, le Seigneur m’a interpellé en me disant : « Lève-toi demain à 4h00, Je veux te parler ! ». Je me suis exécuté et j’ai passé un moment inoubliable en sa présence.

Reviens au secret de la chambre fermée ! Fais une pause indispensable pour te ressourcer en Lui et recevoir ces précieuses Paroles pour ta vie. Ne fuis pas cet endroit car c’est là que le Père Céleste se tient, t’attendant avec enthousiasme.

Bonne réflexion.

UN PETIT REMONTANT ?

Psaumes 16.11 – …Il y a d’abondantes joies devant Ta face…

Dans les temps troublés que nous traversons, nous aurions tendance à oublier cette vérité. Il y a d’abondantes joies devant la face de notre Seigneur.

La peur, la souffrance, la maladie, le deuil, l’incompréhension, l’angoisse sont autant de choses qui peuvent nous entraîner dans un gouffre dont il semblerait que nous ne pourrons jamais nous relever.

Irons-nous jusqu’à dire que toutes ces choses nous devons les traverser avec joie ? Non bien sûr, d’ailleurs nous pleurons avec ceux qui pleurent, nous souffrons pour toutes ces familles endeuillées, pour toutes ces personnes malades, pour toute cette violence également qui est en train d’émerger. Nous sommes avec vous et nous sommes loin d’être des extra-terrestres.

Cependant, ce matin, ce verset a résonné dans  mon cœur. Il y a d’abondantes joies devant Ma face. Dans le Psaumes 34.5 (ou 6 selon les versions) nous lisons : « Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie ». David, le psalmiste dira aussi : « J’ai constamment l’Éternel sous mes yeux » (Psaumes 16.8). Qu’avons-nous constamment sous nos yeux mes amis ? Que regardons-nous ? Sur qui ou sur quoi avons-nous les regards fixés ?

Il est temps de détourner nos regards pour regarder à notre Roi des rois. A l’instar de Moïse dans le désert brandissant le serpent d’airain et permettant ainsi à toutes celles et ceux qui regardaient vers ce serpent de ne pas mourir malgré la morsure des serpents, nous sommes invités à lever nos yeux afin que le poison de la peur, de l’angoisse… ne fasse plus une œuvre de mort en nous mais qu’au contraire, nous recevions toute la vie qui émane de ce que Jésus a accompli à la croix !

La Parole de Dieu nous dit encore : « Car la joie de l’Éternel sera votre force… » (Néhémie 8.10). Il nous appartient maintenant de décider vers qui nous allons tourner nos regards. Mes bien-aimés, pendant ces temps troubles et ceux qui vont suivre, que la joie de notre Seigneur soit notre force.

Avec tout mon amour.

Bonne réflexion.

LES ENFANTS PRIS EN OTAGE !

Psaumes 10.3 – Car le méchant se glorifie de sa convoitise, et le ravisseur outrage, méprise l’Éternel.

Tout le monde sait que le divorce sera la cause de dommages collatéraux, d’autant plus s’il y a des enfants dans le couple qui se disloque. Une étude annonçait qu’environ trente personnes seront affectées par un divorce. J’aimerais vous dire que la vie est un tapis de roses mais même si je vous disais cela, il me faudrait vous dire que ces roses ont des épines.

Ces dommages pourraient être « adoucis » si nous n’assistions pas à une guéguerre provoquée par l’un des parents qui utilise les enfants comme une arme. Les enfants sont pris en otage par l’un des parents, qui au nom de « l’amour » pour eux, va les utiliser pour faire souffrir l’autre. Les exemples sont malheureusement trop nombreux, même parmi les chrétiens, pour ne pas en parler comme s’ils n’existaient pas. Il faut prendre conscience que c’est le meilleur moyen pour détruire psychologiquement les enfants et les déstructurer socialement.

Combien d’enfants entendent l’un des parents dire tout un tas de choses négatives sur l’autre parent ? Combien usent de pressions pour garder des biens matériels prétextant qu’ils seront pour les enfants ? Combien ne permettent pas que le droit de visite se fasse dans de bonnes conditions par l’autre parent et utilise tout un tas de stratagèmes pour arriver à leur fin ? La liste serait longue.

Croyez-vous que ce parent aime ses enfants ? Croyez-vous qu’il se soucie de leur bien-être ? Il serait facile de répondre oui devant ces comportements car le parent qui agit ainsi criera haut et fort : « Moi j’aime mon enfant ». Cependant, essayons un instant de réfléchir et de comprendre l’impact destructeur que ces comportements auront sur l’enfant.

Il est plus facile de parler négativement de l’ex-conjoint que de taire ses erreurs. Il est plus facile de dérober, même ce qui ne nous appartient pas, que de renoncer à ce qui devrait nous revenir de plein droit, pour le bien des enfants. Il est plus facile de ne pas accepter que l’ex-partenaire peut être aimé(e) par ses enfants, que de lâcher-prise et d’accepter qu’ils aient une bonne relation.

Ne soyons pas méchant(e)s. Si nous essuyons un divorce, n’utilisons pas les enfants comme une arme. D’ailleurs, tôt au tard, ceux-ci se retourneront contre ceux et celles qui les ont manipulés de la sorte.

1 Corinthiens 6.7 – C’est déjà certes un défaut chez vous que d’avoir des procès les uns avec les autres. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt quelque injustice ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt dépouiller ?

Bonne réflexion.

LA PUISSANCE DU PARDON

Job 42.10 – « L’Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis, et l’Eternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé ».

Quand la Bible dit ici que Job pria pour ses amis, la chose pourrait nous paraître sans intérêt, car il n’y a rien d’extraordinaire à prier pour ses amis. Seulement ce verset aurait pu tout aussi bien dire « l’Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses ennemis… ».

Les amis de Job n’étaient pas de vrais amis. Il y a de ces amis qui ne sont avec vous que lorsque tout va bien mais dès que les épreuves arrivent au lieu de vous soutenir et de vous encourager, ils vous accusent, vous découragent, et empirent votre désespoir. C’est ce qui s’était passé entre Job et ses amis. Quand Job était dans le malheur, ces amis étaient venus l’accuser et le décourager au lieu de le fortifier.

Certainement que Job commençait à éprouver de la haine à l’égard de ses amis, parce qu’ils venaient empirer son désespoir. Cette haine allait empêcher Dieu de restaurer Job. Lorsque nous ne pardonnons pas à ceux qui nous ont fait du mal, cela empêche la main de Dieu de nous bénir. Voilà pourquoi Dieu demanda à Job de prier pour ses amis, c’est-à-dire de leur pardonner.

La Bible dit, lorsque Job pria pour ses amis, l’Éternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait perdu. Le pardon attire toujours la bénédiction.

Ma requête pour aujourd’hui est que nous puissions prier pour nos amis, je veux dire, nos ennemis.

Références : Job 42.10.