SEPT CHOSES QUE L’ÉTERNEL A EN HORREUR

Proverbes 6.16 à 19 – « Il y a six choses que hait l’Eternel, et même sept qu’il a en horreur : les yeux hautains, la langue menteuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui médite des projets iniques, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui dit des mensonges, et celui qui excite des querelles entre frères ».      

Dans la classification des sept choses que l’Éternel a en horreur, la Bible apremièrement mentionné : « Les yeux hautains… ». Celui qui est hautain, c’est quelqu’un qui se surestime tout en sous-estimant les autres. C’est quelqu’un, comme dit l’expression, qui regarde les gens d’en haut, parce qu’il se croit supérieur aux autres. Le mot qui convient le mieux pour décrire ce genre de personne, c’est l’orgueil.

La Parole nous enseigne que l’humilité précède la gloire et l’orgueil précède la chute. Le premier péché que nous trouvons dans la Bible, n’est pas celui d’Adam et Ève, mais plutôt celui de Lucifer. Dans le ciel, Lucifer avait péché contre Dieu à cause de l’orgueil, et fut, par conséquent, précipité sur la terre. Esaïe 14 déclare à propos de Lucifer : « Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu… Je serai semblable au Très-Haut ». Dans Ezéchiel 28, toujours au sujet de satan, nous lisons : « Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, tu as corrompu ta sagesse par ton éclat… ».

L’orgueil est la source des sept choses que l’Éternel a en horreur : les yeux hautains, la langue menteuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui médite des projets iniques, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui dit des mensonges et celui qui excite des querelles entre frères. Toutes ces choses définissent la nature et le caractère du diable. Dans l’évangile de Jean à son chapitre 8, le Seigneur déclare : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge ».

Nous est-il déjà arrivé de nous demander si nous sommes orgueilleux ou non ? Le psaume 31 dit : « Dieu punit sévèrement les orgueilleux ». Nous pouvons facilement mesurer l’orgueil par rapport à la manière dont nous traitons les autres. Si nous avons de nous-mêmes une idée très élevée, automatiquement nous considérons les autres comme inférieurs à nous. La Bible dit : « Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles ».

Références : Esaïe 14.13 et 14 – Ezéchiel 28.17 – Jean 8.44 – Psaumes 31.24 – Jacques 4.6 – Proverbes 15.33 – Proverbes 16.18.

QUE MILLE TOMBENT À MON CÔTÉ ET DIX MILLE À MA DROITE

Psaumes 119.114 – « Tu es mon asile et mon bouclier, j’espère en ta promesse ».

L’asile est une place, un endroit, un lieu où nous trouvons le refuge, la sécurité et la paix. Le bouclier, cependant, est un instrument qui empêche toute flèche de nous atteindre.

Alors que commence la journée d’aujourd’hui, nous confessons avec hardiesse et autorité ce verset qui déclare : « Que mille tombent à mon côté et dix mille à ma droite, je ne serai pas atteint(e) ! ».

Il n’y a qu’une seule chose, qu’en tant que chrétien, nous avons besoin de savoir, c’est que nous ne sommes pas en nous-mêmes.  Si nous étions en nous-mêmes, nous serions vulnérables à tout ! Mais la Bible dit que nous sommes en Christ. Cela veut dire qu’avant de nous trouver, il faut d’abord trouver Christ.

Dans ce monde où nous vivons, la sécurité et la paix ne se trouvent pas dans un endroit physique, mais plutôt dans un seul nom : Jésus-Christ.

Ma prière, aujourd’hui, est la suivante : « Toute arme forgée contre nous sera sans effet et toute langue qui s’élèvera en justice contre nous, nous la condamnerons ».  Parce que Christ est notre asile et notre bouclier.

Références : Psaumes 91.7 – Esaïe 54.17.

DIEU EST BON 2

Psaumes 103.8 – « L’Eternel est miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté… ».

La Bible nous enseigne que « Les bontés de l’Eternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme. Elles se renouvellent chaque matin ». Voyez-vous, chaque matin, Dieu est disposé à voir en nous une nouvelle personne, une personne différente, c’est-à-dire meilleure qu’avant. Chaque matin, Dieu est prêt à faire une nouvelle chose en nous, parce que ses bontés sont inépuisables.

Le tout dépend de la connaissance que nous avons de Lui. Dieu est bon. Plus nous le connaissons, plus Il est bon pour nous. Moïse disait au Seigneur : « Maintenant, si j’ai trouvé grâce à tes yeux, fais-moi connaître tes voies ; alors je te connaîtrai et je trouverai encore grâce à tes yeux ».

La volonté de Dieu n’est pas de nous montrer à quel point Il est méchant. Mais au contraire, il veut que nous connaissions ses voies et que nous marchions en elles, afin de trouver encore grâce à ses yeux.

Dieu n’a pas d’amour, Il n’a pas de bonté ; Il est amour, et Il est la bonté. La Bible dit : « Car le Seigneur ne rejette pas à toujours. Mais lorsqu’il afflige, il a compassion selon sa grande miséricorde ».

La raison pour laquelle Jésus nous parla du fils prodigue, c’est afin de nous montrer la nature du Père. Bien qu’il se soit éloigné de son père et qu’il ait commis beaucoup d’erreurs, le fils prodigue avait la révélation de l’amour du père, ce que beaucoup de chrétiens n’ont pas.

Le fils prodigue connaissait son père et savait qu’en revenant à la maison avec un cœur repentant, son père l’accueillerait. Malheureusement beaucoup de chrétiens préfèrent se suicider spirituellement, c’est-à-dire abandonner Dieu, plutôt que de se repentir et de revenir à Lui, parce qu’ils pensent que Dieu ne leur pardonnera jamais. Mais Dieu est bon.

Lorsque le fils prodigue décida de revenir à son père, celui-ci sortit de la maison pour l’accueillir alors qu’il était encore sur le chemin.

Ayons une bonne connaissance de Dieu et sachons que lorsque nous décidons de retourner à Lui, il quitte son trône pour venir nous chercher là où nous sommes, parce qu’Il est un Dieu bon.

Ma prière, aujourd’hui, est pour tous ceux et toutes celles qui croient que Dieu ne les aime pas. Nous n’avons pas toujours une bonne connaissance de Son amour, pourtant la vérité est que Dieu nous aime et que Dieu est bon.

Références : Lamentations 3.22 et 23 – Exode 33.13 – Lamentations 3.31 et 32 – Luc 15.11 à 32.

DIEU EST BON 1

Psaumes 103.8 – « L’Eternel est miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté… ».

La plupart du temps, nous avons du Seigneur une image qui n’est pas conforme à la vérité. Nous regardons Dieu comme un gendarme qui rôde autour de nous avec une matraque, prêt à nous assommer dès que nous faisons un faux pas.

Ainsi au lieu d’avoir la crainte de Dieu, nous avons la peur de Dieu, parce que nous le voyons comme un juge toujours prêt à nous condamner. Mais le Seigneur Jésus a dit : « … je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde ».

Dieu veut nous sauver, Il veut nous montrer qu’Il nous aime, et que toutes ses pensées sont sur nous.

Le Seigneur chaque jour, désire nous manifester son grand amour. Il veut, lorsque nous péchons, qu’au lieu de nous enfuir loin de Lui, nous courrions plutôt vers Lui.

Dieu est lent à la colère et riche en bonté. Mais nous nous comportons envers Lui, comme s’Il était plutôt riche en colère et lent à la bonté. Il est un Dieu qui est prêt à nous pardonner, si nous nous repentons sincèrement. Mais parce que nous avons peur de Lui, nous restons loin de Lui.

L’Éternel dit dans sa Parole : « Je ne désire pas la mort du méchant (pécheur), mais plutôt qu’il change et qu’il vive ». Si le méchant ne change pas, il mourra. Mais s’il se repent, il verra les bontés de l’Éternel.

Ma prière, aujourd’hui, est que nous apprenions à voir Dieu autrement, et à aller vers Lui tel que nous sommes, car Il n’est pas un Dieu mauvais, ni méchant, mais Il est un bon Dieu ».

Références : Jean 12.47 – Ezéchiel 18.23.

CELA NE T’ARRIVERA PAS

Psaumes 91.10 – « Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente ». 

« Aucun malheur ne m’arrivera, aucun fléau n’approchera de ma tente ». 

Job craignait le malheur, et faisait des sacrifices pour l’empêcher d’arriver. Il vivait plus dans la peur que dans l’assurance et quand le malheur tomba sur lui, il dit : « Ce que je crains c’est ce qui m’arrive : ce que je redoute, c’est ce qui m’atteint. Je n’ai ni tranquillité, ni paix, ni repos, et le trouble s’est emparé de moi ».

Y a-t-il une crainte dans votre vie ? Y a-t-il une peur qui vous domine ? Débarrassez-vous de cela, afin que ce que vous craignez ne vous arrive pas. Ne vivez pas dans la peur, mais vivez dans l’assurance, vivez dans la foi.

La Bible dit : « Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente ». La tente, c’est notre maison, là où nous demeurons. Le fléau, c’est toute sorte de mal ou de malheur qui peut s’abattre sur nous et notre famille. Mais cela ne nous arrivera pas, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.

Références : Psaume 91 – Job 3.25 et 26.

ABBA ! PÈRE !

Psaumes 27.10 – « Car mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Eternel me recueillera ».

Lorsque notre Seigneur Jésus-Christ enseigna aux disciples comment prier, il ne leur a pas dit : « Notre Dieu qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié… ». Au contraire il leur dit ceci : « Notre père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié… ».

Le Seigneur Jésus n’a pas voulu nous présenter Dieu comme un étranger, comme quelqu’un qui est loin de nous, mais plutôt comme celui qui est notre père. Lorsqu’on est en Christ, on ne peut pas être orphelin ou orpheline, parce que Dieu est notre père.

La Bible déclare : « La Parole est venue chez les siens et les siens ne l’ont pas reçue. Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu… ».

Dieu devient notre père lorsque nous croyons en son fils Jésus-Christ. C’est ce Dieu qui nous parle et qui dit : « Pourquoi dis-tu l’Eternel m’abandonne, le Seigneur m’oublie ! Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles ? Quand elle l’oublierait, moi je ne t’oublierai point. Voici je t’ai gravé sur mes mains, tes murs sont toujours devant mes yeux… ».

Ma prière, aujourd’hui, est que nous puissions apprendre à regarder Dieu, non pas comme un étranger, mais comme notre père. Il n’est pas seulement proche de nous, Il est en nous.

Références : Romains 8.15 – Matthieu 6.9 – Jean 1.12 – Esaïe 49.14 à 16.

LE ROI QUI OUVRE LES PORTES

Psaumes 24.7 et 8 – « Portes élevez vos linteaux, élevez-vous, portes éternelles ! Que le roi de gloire fasse son entrée ! Qui est ce roi de gloire ? L’Eternel fort et puissant, l’Eternel puissant dans les combats ».

« Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole, et que tu n’as pas renié mon nom, j’ai mis devant toi une porte ouverte que personne ne peut fermer ».

Trois points pour que les portes fermées s’ouvrent :

1.  Reconnaître que Dieu seul a toute puissance.

2.  Garder la Parole de Dieu, c’est-à-dire obéir à la Parole de Dieu.

3.  Ne jamais renier Dieu.

Notre verset de méditation dit : « … élevez-vous portes éternelles, que le roi de gloire fasse son entrée ! ». Cela fait toute une éternité que ces portes sont fermées. Elles ont toujours résisté et n’ont jamais voulu s’ouvrir. Mais comme notre Dieu est puissant dans les combats, maintenant est venu le temps où toutes les portes fermées vont s’ouvrir. Nous sommes dans une année où nous allons expérimenter de grandes ouvertures.

Ma prière, aujourd’hui, est que les portes de cette journée s’élèvent et que le Roi de gloire fasse son entrée, dans toutes les activités que nous allons entreprendre, selon qu’il est écrit : « J’ai mis devant toi une porte ouverte que personne ne peut fermer ». 

Références : Apocalypse 3.8.

QUI ES-TU GRANDE MONTAGNE ?

Psaumes 18.34 – « Il rend mes pieds semblables à ceux des biches et il me place sur mes lieux élevés ». 

Avez-vous déjà observé les pieds d’une biche ? On ne peut pas dire que les biches sont des animaux qui marchent. La plupart du temps, elles sont toujours en train de sautiller. Elles avancent par bonds, et elles sont d’une grande agilité.

L’avantage pour quelqu’un qui a les pieds comme ceux d’une biche, est que cette personne ne pourra pas marcher dans le filet de l’oiseleur, c’est-à-dire dans les pièges du diable, parce qu’elle peut sauter et passer par-dessus.

Comme elles se déplacent toujours en faisant des bonds, les biches passent plus de temps dans les airs que sur le sol. Lorsqu’on est plus dans l’esprit que dans la chair, lorsqu’on est plus en haut qu’en bas, lorsqu’on passe plus de temps avec le Seigneur qu’avec les hommes, on finit par marcher sur ces lieux élevés. C’est un signe de victoire, car les lieux élevés représentent tout ce qui s’élève contre nous. Mais comme le dit la Parole, toutes ces choses sont sous nos pieds.

La Bible dit : « Qui es-tu, grande montagne, devant Zorobabel ? Tu seras aplanie ». Ou encore : « Qui es-tu, grande montagne, devant (mettez votre nom) ? Tu seras aplanie ».

Les lieux élevés, ce sont nos montagnes, ce sont tous ces défis qui veulent nous paralyser dans notre foi. Mais grâce soit rendue à Dieu qui rend nos pieds semblables à ceux des biches, et qui nous place au-dessus de nos problèmes, au-dessus de nos barrières, au-dessus de nos lieux élevés.

Ma prière, aujourd’hui, est que le Seigneur nous fasse faire des bonds dans notre foi, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.

Références : Zacharie 4.7 – Psaumes 91.3.

LA PUISSANCE DU PARDON

Job 42.10 – « L’Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis, et l’Eternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé ».

Quand la Bible dit ici que Job pria pour ses amis, la chose pourrait nous paraître sans intérêt, car il n’y a rien d’extraordinaire à prier pour ses amis. Seulement ce verset aurait pu tout aussi bien dire « l’Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses ennemis… ».

Les amis de Job n’étaient pas de vrais amis. Il y a de ces amis qui ne sont avec vous que lorsque tout va bien mais dès que les épreuves arrivent au lieu de vous soutenir et de vous encourager, ils vous accusent, vous découragent, et empirent votre désespoir. C’est ce qui s’était passé entre Job et ses amis. Quand Job était dans le malheur, ces amis étaient venus l’accuser et le décourager au lieu de le fortifier.

Certainement que Job commençait à éprouver de la haine à l’égard de ses amis, parce qu’ils venaient empirer son désespoir. Cette haine allait empêcher Dieu de restaurer Job. Lorsque nous ne pardonnons pas à ceux qui nous ont fait du mal, cela empêche la main de Dieu de nous bénir. Voilà pourquoi Dieu demanda à Job de prier pour ses amis, c’est-à-dire de leur pardonner.

La Bible dit, lorsque Job pria pour ses amis, l’Éternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait perdu. Le pardon attire toujours la bénédiction.

Ma requête pour aujourd’hui est que nous puissions prier pour nos amis, je veux dire, nos ennemis.

Références : Job 42.10.

JE SAIS QUE MON RÉDEMPTEUR EST VIVANT

Job 33.24 – « Délivre-le, afin qu’il ne descende pas dans la fosse ; j’ai trouvé une rançon ! ».   

Job, au plus profond de ses souffrances, eut la révélation de Christ, le Médiateur, et de Christ le Rédempteur : Christ le Médiateur, prenant par la main, l’homme séparé de Dieu par le péché, pour le ramener à Dieu, et Christ le Rédempteur qui versa son sang, comme une rançon pour payer le prix du péché. Lorsque nous sommes dans des situations extrêmement désespérées, et que nous avons la révélation de ces deux ministères de Jésus, le Médiateur et le Rédempteur, alors, nous sommes sur le chemin de la délivrance.

Job disait : « Mais je sais que mon rédempteur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la terre ». Il est très intéressant de voir la position que Job donna au Rédempteur : « … il se lèvera le dernier… ». Voyez-vous, le diable se lève toujours le premier. Mais ce n’est pas la façon dont les choses commencent qui importe, c’est la façon dont elles finissent qui compte. Et pour ceux qui gardent leur confiance en Dieu, les choses finissent toujours bien.

Job avait eu, en dépit de ses épreuves et de la période à laquelle il vivait, une vision précise de Jésus-Christ. Sa foi était tournée vers l’espérance que le Rédempteur le sauverait. Avez-vous la même espérance dans les situations désespérées ? La Parole dit, alors que la vie de Job descendait dans la fosse, Dieu eut compassion de lui et dit à l’ange : « Délivre-le afin qu’il ne descende pas dans la fosse ; j’ai trouvé une rançon ! ».

Jésus-Christ est la rançon ! La Bible déclare : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous ».

Peut-être que toi aussi, ta vie est en train de descendre dans la fosse à cause du découragement, à cause d’une déception, à cause d’une maladie, ou d’autres choses encore… La bonne nouvelle est que ton Rédempteur est vivant ; mais il faut résister jusqu’au dernier moment, car il se lèvera le dernier.

Ma prière, aujourd’hui, est que Dieu nous donne de l’endurance dans notre foi, afin que nous puissions persévérer jusqu’à la dernière minute, jusqu’au dernier souffle… car bien que Dieu se lève le dernier, il n’est jamais en retard !

Références : Job 19.25 – Job 33.24 – 1 Timothée 2.5 et 6.