TOUT LAISSER POUR JÉSUS

Luc 5.11 – « Et ayant ramené les barques à terre, ils laissèrent tout, et le suivirent ».  

Dans l’épître aux Philippiens chapitre 3, à son verset 7, l’apôtre Paul déclare : « Mais ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ ».

Simon et ses coéquipiers se sont donné beaucoup de mal toute une nuit sur le lac de Génésareth, et nous savons qu’ils n’ont pris aucun poisson. Mais quel bonheur ! Au petit matin, ils firent la plus grande et la plus belle pêche de toute leur vie avec Jésus. C’était pour eux l’occasion de faire le plus grand profit financier dans leur commerce de poissons. Mais voici qu’à ma plus grande surprise, tous ces poissons qu’ils ont miraculeusement pêchés, ils les laissèrent dans les filets pour suivre Jésus.

Ils décidèrent de suivre Jésus, plutôt que les poissons ! C’est une attitude qui peut choquer beaucoup d’entre nous, mais s’ils ont fait cela, c’est parce qu’ils ont compris qu’il est plus important d’avoir le pourvoyeur, plutôt que la provision.

Le plus souvent, nous sommes obsédés par les choses matérielles. Nous sommes prêts à tout, pour avoir la provision ; au lieu d’être prêts à tout, pour avoir le pourvoyeur.

La Bible dit : « … ils laissèrent tout et le suivirent ». Simon et ses coéquipiers avaient compris, qu’aussi longtemps qu’ils avaient Jésus,ils pourraient avoir des poissons, le matin, à midi, le soir, la nuit, et qu’à aucun moment de la vie ils ne souffriraient d’un manque quelconque.

Ma prière, aujourd’hui, est que le Saint-Esprit nous donne la même révélation qu’Il donna à Simon et à ses coéquipiers après leur pêche miraculeuse. Puissions-nous, comme eux, tout laisser pour Jésus.

Références : Luc 5.1 à 11 – Philippiens 3.7.

GÉNÉSARETH ET TIBÉRIADE

Luc 5.10 – « … désormais tu seras pêcheur d’hommes ».  

Si nous comparons Luc chapitre 5 versets 1 à 11 et Jean chapitre 21 versets 1 à 11, nous serons étonnés de la ressemblance qu’il y a entre ces deux textes. Il s’agit exactement de la même histoire, de la même expérience, racontée avec le même nombre de versets ! La seule différence est que la première fois, la scène se passe sur le lac de Génésareth avant la mort et la résurrection de Jésus, et la deuxième fois la même scène se répète sur la mer de Tibériade après la mort et la résurrection de Jésus.

Simon Pierre dans ces passages a vécu la même expérience négative deux fois. La première fois, il passa toute une nuit sur le lac de Génésareth sans prendre aucun poisson. Mais au petit matin, avec Jésus, il fit la plus grande pêche de sa vie. Après cela, le Seigneur donna une autre direction à la vie de Simon en lui disant : « … désormais tu seras pêcheur d’hommes ». Mais voici qu’après la résurrection, Pierre retourna encore à la pêche au poisson sur la mer de Tibériade…

En vérité, Pierre ne s’était pas remis du fait qu’il avait renié le Seigneur. Cette culpabilité qui lui donnait le sentiment d’être indigne, était toujours en lui. Et pourtant jamais Jésus ne l’avait condamné. Au contraire, Il lui avait pardonné, mais Pierre n’avait pas accepté le pardon de Dieu, et ne s’était pas pardonné à lui-même.  C’est ainsi que beaucoup de chrétiens quittent l’Église pour se retrouver dans le monde, après avoir rencontré Jésus.

Nous devons comprendre que Dieu est amour. Il nous pardonne autant de fois que nous sommes sincères dans notre repentance. Mais c’est à nous qu’il incombe d’accepter son pardon et de nous pardonner à nous-mêmes. Si nous ne faisons pas ainsi, le diable nous ramènera à l’état, au niveau, et à l’endroit où nous étions avant de rencontrer le Seigneur.

C’est ce qui arriva à Pierre qui s’était retrouvé sur la mer de Tibériade, cherchant à pêcher des poissons, au lieu d’être avec le Seigneur pour pêcher les hommes. Pierre s’est éloigné de Dieu, mais la plus belle partie de l’histoire est que le Seigneur est encore allé à son secours.

Ma prière, aujourd’hui, est que le Seigneur nous donne une révélation de son amour pour nous, cet amour dont la Bible dit : « Alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous »  (Romains 5.8).

Références : Luc 5.1 à 11 – Jean 21.1 à 11 – Romains 5.8.

JESUS T’ATTEND

Luc 5.10 – « … désormais tu seras pêcheur d’hommes ».  

Il y a trois paroles que le Seigneur a prononcées sur Simon qui ont complètement changé sa vie. Bien que Simon n’ait pas toujours été exemplaire, bien qu’il ait commis des erreurs, bien qu’il ait succombé à plusieurs faiblesses, et qu’il ait même renié le Seigneur, ces trois paroles de Jésus n’ont pas changé.

Quand Dieu nous donne des dons, et nous appelle à un ministère particulier, Il ne retire jamais ses dons, ni son appel, même si nous nous éloignons de Lui. (Romains 11.29).

Lorsque Jésus rencontra Simon la première fois, Il dit à Simon : « … Tu seras appelé Céphas » (ce qui signifie Pierre – Jean 1.42). Ensuite dans une autre circonstance, Jésus dit à Simon : « … désormais tu seras pêcheur d’hommes » (Luc 5.10). Et enfin, dans Matthieu chapitre 16, alors que Simon venait d’avoir la révélation que Jésus était le Christ, le Fils du Dieu vivant, le Seigneur lui répondit : « … Je te dis que tu es Pierre et que sur ce roc (sur cette révélation), je bâtirai mon Église et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elles » (Matthieu 16.18).

Ces trois paroles étaient assez puissantes pour donner à Simon l’assurance qu’il était devenu un homme sur qui on pouvait compter. Lorsque Jésus lui dit : « … Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois, Simon répondit au Seigneur : Même s’il me fallait mourir avec toi, je ne te renierai pas » (Matthieu 26.35).

Il y a des moments dans la vie où nous sommes tellement sûrs de nous-mêmes, que nous nous croyons infaillibles. Il nous arrive même de juger les autres, parce que nous croyons que nous sommes meilleurs qu’eux. Quand le moment de vérité arriva, Pierre renia Jésus trois fois. Lorsqu’il prit conscience qu’il avait trahi le Seigneur, la Bible dit qu’il « pleura amèrement » (Matthieu 26.69 à 75).

Pierre regretta si profondément son acte, qu’il s’éloigna du Seigneur et des disciples parce qu’il se croyait indigne de Jésus. Il s’était jugé et condamné lui-même, alors que Jésus ne l’avait ni jugé ni condamné. Vous est-il déjà arrivé de vous éloigner du Seigneur, parce que vous vous étiez jugés et condamnés vous-mêmes ?

Après avoir été renié par Pierre et crucifié par les Romains, Jésus mourut. Mais lorsqu’il ressuscita des morts, il donna ce message : « Allez dire aux disciples et à Pierre que le Seigneur les précède en Galilée » (Marc 16.7). Normalement Pierre faisait partie des disciples, mais le message a précisé « aux disciples » et « à Pierre ». Pourquoi ? Parce que Pierre s’était éloigné du Seigneur et des disciples à cause du remords.

Peut-être que toi aussi, tu t’es éloigné de Jésus et des frères et sœurs en Christ, car tu te reproches d’avoir trahi le Seigneur. Mais Jésus te dit, aujourd’hui, Je t’attends en Galilée, parce que Je t’aime toujours (Jean 12.47).

Références : Luc 5.1 à 11 – Romains 11.29 – Jean 1.42 – Jean 12.47 – Marc 16.7 – Matthieu 16.18 – Matthieu 26.69 à 75.

DIEU FAIT GRÂCE AUX HUMBLES

Luc 5.10 – « Alors Jésus dit à Simon : Ne crains point ; désormais tu seras pêcheur d’hommes ».  

Quand Dieu donne une instruction et qu’on y obéit, on reçoit une promotion. Avec le Seigneur, les choses sont simples : Instruction-Obéissance-Promotion.

Simon, dans ce passage de Luc chapitre 5, a démontré un caractère admirable, que l’on ne retrouve pas toujours chez nous autres, les chrétiens d’aujourd’hui : il était « enseignable ». Simon pouvait reconnaître malgré sa grande expérience dans la pêche, qu’il ne savait pas tout, et qu’il pouvait encore apprendre.

Dieu donne beaucoup de faveur à celui qui est « enseignable ». Quand on est prêt à recevoir des instructions et à se laisser enseigner par Dieu, quand on est disposé, même à recevoir des reproches, cela démontre avant tout, qu’on est humble. L’orgueil en réalité consiste à croire qu’on n’a pas besoin de Dieu. Or, la Bible dit : « Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles » (Jacques 4.6).

Dans son sermon sur la montagne, le Seigneur Jésus dit : « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux » (Matthieu 5.3). Les pauvres en esprit sont ceux qui sont prêts à recevoir du Seigneur, ceux qui sont disposés à recevoir en esprit. Heureux ceux qui sont ouverts pour recevoir de Dieu, car ils agiront dans le surnaturel. Le royaume des cieux est un royaume dans lequel domine le surnaturel ou le miraculeux.

Simon a expérimenté le miraculeux en agissant sur le principe fondamental du royaume des cieux qui est : la Parole de Dieu. « Sur ta parole je jetterai le filet » (Luc 5.5).

Dans le sermon sur la montagne, le Seigneur dit aussi ceci : « Heureux les débonnaires (d’autres traductions disent : Heureux les doux), car ils hériteront la terre » (Matthieu 5.5).  Les débonnaires ou les doux sont ceux qui font preuve d’humilité, et qui ne se laissent pas arrêter par l’offense ou la défaite. Heureux ceux qui, malgré les oppositions, sont toujours disposés à apprendre et à montrer de l’amabilité. Heureux ceux qui malgré les offenses et les défaites, restent disposés à apprendre de Dieu. Car ils hériteront la terre, c’est-à-dire qu’ils finiront par maîtriser toutes les situations que l’on peut rencontrer sur cette terre.

Simon, en étant « enseignable », en suivant les instructions du Seigneur, a fini par maîtriser le lac de Génésareth. De la pêche aux poissons, il passa à une promotion spirituelle : « Désormais tu seras pêcheur d’hommes ».

Qu’il en soit ainsi pour nous tous, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.

Références : Luc 5.1 à 11 – Jacques 4.6 – Matthieu 5.1 à 12.

DU PRINCIPE DE L’AUTORITÉ

Luc 5.5 et 6 – « … sur ta parole, je jetterai le filet. L’ayant jeté, ils prirent une grande quantité de poissons, et leur filet se rompait ».       

La notion de paternité est un élément fondamental dans la vie chrétienne. Il y a toujours une référence ou une influence dominante qui conduit le cheminement de notre vie spirituelle. Nous appelons cette référence ou cette influence dominante, un père spirituel.

L’apôtre Paul disait : « Ce n’est pas pour vous faire honte que j’écris ces choses ; mais je vous avertis comme mes enfants bien-aimés. Car même si vous aviez dix mille maîtres en Christ, vous n’avez cependant pas plusieurs pères puisque c’est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l’évangile »   (1 Corinthiens 4.14 et 15).

Il est important que tout chrétien ait un père spirituel. C’est une preuve de confiance et d’intégrité. C’est aussi la preuve d’une maturité spirituelle, qui montre qu’on est sorti de quelque part, et qu’on a grandi sous une autorité.

Jésus-Christ, durant son séjour sur cette terre a privilégié sa relation avec le Père, il a montré sa fidélité et sa soumission au Père. Il disait : « Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde… » (Jean 16.28). Il était couvert par le Père. C’est la paternité qui établit l’autorité. Jésus-Christ sous l’autorité de son Père, a fait des exploits et a vaincu la mort.

Aujourd’hui, Dieu a donné son autorité à des hommes et à des femmes qui le représentent dans leurs ministères. Le principe de la soumission à l’autorité de Dieu, reste toujours une clé fondamentale pour avoir une percée dans la vie.

Peut-être que vous ne voyez pas la relation entre ce commentaire et le verset de méditation que nous avons choisi : Luc 5.5 et 6. Et pourtant il y en a une. Simon avait passé toute la nuit sur le lac de Génésareth sans prendre un seul poisson. Mais voici qu’au petit matin, le Seigneur lui demanda de retourner sur le lac.

A un certain moment, Jésus dit à Simon : « Avance en pleine eau et jetez vos filets… ». Lorsqu’il fit cela, ce fut le miracle. Simon avait échoué toute la nuit, à cause d’une seule raison : il n’était pas sous une autorité, qui pouvait lui dire à quel moment et à quel endroit jeter le filet.

Il y a beaucoup de problèmes que nous n’arrivons pas à résoudre dans notre vie, non pas parce que nous ne sommes pas intelligents, non pas parce que nous ne sommes pas compétents, non pas parce que nous ne sommes pas expérimentés, mais parce que nous ne sommes pas sous une autorité, parce que nous n’avons pas de père…

Ma prière, aujourd’hui, est que nous nous placions sous une autorité spirituelle chrétienne, car c’est à travers elle que Dieu transformera notre vie.

Références : Luc 5.1 à 11 – 1 Corinthiens 4.14 et 15 – Jean 16.28.

LA VICTOIRE JUSTE APRÈS LA DÉFAITE

Luc 5.5 – « Simon lui répondit : Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais sur ta parole, je jetterai le filet ».     

Simon et ses coéquipiers venaient de subir une cuisante défaite, peut-être la plus cuisante de toute leur vie. Ils venaient de passer toute la nuit sur le lac, sans prendre un seul poisson. C’était un affront pour eux, fils de pêcheurs, expérimentés qu’ils étaient dans le domaine de la pêche.

Après une nuit aussi déprimante, alors qu’au petit matin, ils s’apprêtaient à rentrer chez eux, Jésus arriva au bord du lac. La Bible dit qu’Il monta dans une barque et pria Simon de s’éloigner de terre. Notons que Jésus pria Simon. Il lui demanda avec insistance d’aller avec Lui sur le lac. Manifestement Simon n’avait aucune envie de retourner sur ce lac de malheur, compte tenu de l’expérience qu’il venait juste d’y faire. Mais en fin de compte, il se résolut à y retourner avec le Seigneur.

Ce que je voudrais dégager dans ce texte, c’est une réflexion fondamentale sur notre vie quotidienne. Cette réflexion est la suivante : Vivons-nous par expérience ou vivons-nous par la foi ?

La Bible dit que Jésus enseigna de la barque après quoi, Il dit à Simon : « Avance en pleine eau et jetez vos filets pour pêcher ». En disant « vos filets », nous comprenons que Simon était avec ses coéquipiers. Mais Simon répondit : « Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais sur ta parole, je jetterai le filet. »

Si Simon devait se référer à son expérience, il n’allait jamais jeter le filet car toute la nuit, il fit la même chose sans prendre un seul poisson. Et toute la nuit signifie toute la vie pour certaines personnes. Mais Simon n’a pas tenu compte de l’expérience, il a tenu compte de la révélation, c’est-à-dire de la Parole que Jésus lui avait dite.

Observons cependant, que le Seigneur dit : « Jetez vos filets », mais Simon répondit : « … je jetterai le filet ».  Ce qui veut dire que ses coéquipiers ne voulaient pas jeter leurs filets, parce qu’ils ne croyaient pas à la Parole de Jésus, compte tenu de l’expérience qu’ils avaient eue durant la nuit.

Souvent nos expériences nous poussent à douter de Dieu. Etes-vous prisonniers des expériences négatives du passé ? Dieu n’est pas le Dieu du passé, c’est un Dieu qui fait toute chose nouvelle ! C’est le Dieu qui prend la défaite d’hier, pour en faire le succès d’aujourd’hui ; c’est le Dieu de la victoire, juste après la défaite.

Après que Simon eut jeté le filet sur la Parole de Jésus, ils prirent une grande quantité de poissons, et leur filet se rompait. Ils firent signe à leurs compagnons qui étaient dans l’autre barque de venir les aider. Ils vinrent, et ils remplirent les deux barques, au point qu’elles s’enfonçaient. Quand il vit cela, Simon Pierre tomba aux genoux de Jésus et dit : Seigneur, retire-toi de moi, parce que je suis un homme pécheur. Car l’épouvante l’avait saisi… 

Ce lac , qui était pour eux, la place de leur plus grande défaite, était devenu avec Jésus, la place de leur plus belle victoire. Qui a dit que vous ne pouvez plus gagner là où vous avez déjà échoué ?

Je prie pour une formidable espérance, une brusque renaissance, une résurrection subite pour chacun de nous, qui sommes restés prisonniers de l’expérience.

Références : Luc 5.1 à 11.

LE FILET DE L’ONCTION

Luc 5.3 – « Puis il s’assit et de la barque, il enseignait la foule ».  

Que faites-vous quand vous arrivez dans un endroit où règne une atmosphère d’échec ou de défaite, une odeur de découragement et de déconfiture totale ? C’était un peu l’ambiance qui prévalait au bord du lac de Génésareth où se trouvaient Simon et ses coéquipiers, qui venaient de passer toute une nuit sans succès.

Lorsque le Seigneur réussit à les convaincre de retourner sur le lac, la question qui a dû traverser l’esprit de Simon et des autres pêcheurs à propos de Jésus était la suivante : Qu’a-t-il de plus que nous ?  Que connaît-il de la pêche ? En plus, il est charpentier, et nous, nous sommes issus de plusieurs générations de pêcheurs. Mais lorsque Jésus entra dans la barque, il ne se mit pas à pêcher, IL SE MIT À PRÊCHER.

La Bible ne précise pas quel enseignement Jésus donna, mais ce que la Bible précise, c’est qu’après avoir enseigné, Jésus dit à Simon : « Avance en pleine eau… ». Simon, qui avait passé toute la nuit sur le lac, avait déjà été en pleine eau, sans prendre aucun poisson. Et voici que le Seigneur lui demandait d’aller encore en pleine eau. Mais cette fois-ci, il ne s’agissait pas seulement de l’eau du lac, mais aussi de l’eau de la Parole, qu’il venait d’enseigner (Ephésiens 5.26).

La première chose à faire dans une atmosphère de défaite et de découragement, c’est de prêcher la Parole. Lorsque Jésus enseigna, l’onction rentra dans la barque de Simon et aussi dans leurs filets. Simon, sensible à l’onction comprit que quelque chose allait se passer s’il jetait son filet sur la Parole, qu’il venait d’entendre.

La Bible dit que l’onction brise le joug, le joug de la défaite, le joug de la malédiction, toute sorte de joug ! Et l’onction vient de la Parole !

Le plus souvent, nous écoutons la Parole, nous apprécions la Parole, nous applaudissons la Parole, mais nous ne faisons rien de la Parole.

Aujourd’hui, le Seigneur dit : « Avance en pleine eau… », c’est-à-dire avance en plein dans la Parole, agis sur la Parole.

Références : Luc 5.1 à 11 – Esaïe 10.27 – Ephésiens 5.26 – Jean 7.38 et 39.